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13/04/2009

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08/12/2008

Introduction

1er Arrondissement - Louvre



Historique :


A visiter :

- Place vendome
- Jardin des Tuileries
- Palais royal - Musée du Louvre
- Jardin du Forum des Halles

- La conciergerie
- La Sainte-Chapelle


Vu et photographié :

- Place Vendôme
(Place située entre l'Opéra Garnier et le jardin des Tuileries)


Construits au XVIII° siècle, les bâtiments qui l'entourent ont conservé de cette époque beaucoup de charme et de majesté. Hormis les boutiques des plus grands joailliers mondiaux qui s'y sont installés depuis la fin de XIX° siècle, la place abrite également le célèbre hôtel Ritz... ainsi que le ministère de la Justice.

Au centre de la place trône la colonne de la Grande-Armée, commandée par Napoléon 1er en l'onneur des soldats victorieux lors de la bataille d'Austerlitz. Haute de 44 mètres, elle a été réalisée en faisaint fondre le bronze des canons pris aux Russes et aux Autrichiens lors de l'affrontement. Au somment se dresse la statue de Napoléon.

Comme d'autres symboles parisiens, la colonne fut détruite lors de la Commune de Paris, puis reconstruite.


- Jardins des Tuileries
(Jardins de 25,5 hectares situé entre le Louvre et la place de la Concorde)

Construit à l'emplacement d'anniennes fabriques de tuiles (d'où son nom), ce jardin fut commandé en 1564 par Catherine de Médicis (1519-1589), alors régente, qui venait de s'installer au Louvre.
Au fil des siècles, il fut plusieurs fois remanié et agrémenté de bassins.


- Palais-Royal
(Grande esplanade verdoyante bordée d'immeubles et de galeries)

Les galeries, ouvertes en 1786, regroupent des échoppes et des cafés. Protégées des rues extérieures, elles bénéficient en outre du large trottoir très prisé des passants las des voies embourbées de la capitale.
Avec l'évolution des rues lancée sous le préfet de Haussmann, les galeries du Palais-Royal perdent de leur attrait au profit des nouvelles artères commerçantes. En revanche, le jardin central conserve son charme et son aspect de cocon, protégé du bruit des voitures pourtant très présentes dans le quartier. On ne peut passer dans le Palais-Royal sans aller voir les colonnes de Buren, sculptures de marbres blanc et noir alignées, inaugurées en 1986. Cette oeuvre comtemporaine a suscité quelques polémiques quant à son aspect jugé trop moderne dans
ce lieu historique.
- Musée du Louvre

Au XII° siècle, le Louvre est une énorme forteresse militaire destiné à protèger Paris des assaillants qui pourraient arriver par la Seine, toute proche.

Vers 1360, l'endroit est transformé en riche demeure qui accueille la bibliothèque royale. François 1er (1494-1547) s'y installe et le fait agrandir.

De 1564 à 1570, la reine Catherine de Médicis (1519-1589) fait construire à 500 mètres de là le palais des Tuileries ; c'est Henri IV (1553-1610) qui va réunir les deux batiments par l'immense "Galerie du bord de l'eau", la Grande Galerie actuelle.
Les travaux d'agrandissement et d'embellissement (notamment la cration de la Cour carrée) s'accentuent pendant les règnes de Louis XIII et de Louis XIV, mais l'attrait de ce dernier pour Versailles plonge le Louvre dans sa période de sommeil.
En 1793, pousée par les demandes de la population et des grands esprits de l'époque, la Convention permet au public de venir voir les oeuvres amassées par les rois.
En 1827, les collections du musée sont agrémentées des trésors rapportés d'Egypye par Champollion.
Les travaux les plus marquants sont engagés par Napoléon III et le préfet Haussmann. Le Louvre se présente désormais sous la forme de deux grands batîments centraux contre lesquels se dressent deux autres demeures tout aussi imposantes.
En 1871, pendant la Commune de Paris (rébellion des parisiens contre le pouvoi), le palais des Tuileries est incendié.
Après son éléction en 1981, le président François Mitterrand (1916-1996)décide de créer un "Grand Louvre", plus attractif et prestigieux. Pour redonner du volume et de l'espace, l'architecte Leoh Ming Peï décide de réaménager le sous-sol et de l'éclairer par une pyramide dont les panneaux sont constitués de plaues de verre spécialement conçu pour ne pas dénaturer la lumière du jour. Haute de 21,65 mètres, elle se dresse au centre du parvis du Louvre, entre les batiments ancestraux du musée. Elle esy inaugurée le 4 mars 1988, en même temps que les 16 000 m2 du sous-sol entièrement réaménagé.
Constitué de huit départements, le musée du Louvre présente 35 000 oeuvres dans 60 600 m2 de salles dédiées aux collections permanentes.
- Halles
(Les halles étaient un immense marché situé au coeur de Paris)
A partir du XVIII° siècle, le coeur de la capitale devient le point de rencontre de tous ceux qui vendent des denrées alimentaires. Au fil des siècles, le commerce s'organise autour de boutiques et d'entrepôts. L'immense bâtiment (dont il ne reste aujourd'hui aucun vestige) dessiné par l'architecte Victor Baltard entre 1850 et 1870 regroupe la plupart des marchands.
Rançon de la gloire, la multiplication des commerces entraîne d'énormes problèmes d'hygiène.
En 1969, les halles déménagent définitivement vers Rungis, dans la banlieue de Paris.
Le réaménagemment du quartier des Halles est en marche : les premiers pavillons sont démolis en 1971 et un grand trou est creusé pour permettre l'édification d'un centre commercial. Le forum, imaginé par les architectes Georges Pencreac'h et Claude Vasconi, est inauguré en 1979, puis agrandi et agrémenté d'un jardin en 1986.
L'endroit attire de nombreux visiteurs, mais reste froid et peu accueillant. En 2004, la municipalité parisienne décide de réaménager le quartier. Elle lance pour cela un concours d'architecte, c'est le projet des français Patrick Berger et Jacques Anziutti.
- La Saint-Chapelle
Au 13ième siècle, à lépoque des Croisades, Louis IX (Saint-Louis), très croyant, achète à l'empereur de Constantinople un morceau de la Croix du Christ et quelques épines de sa Couronne. Pour conserver ces précieuses reliques dans un lieu digne d'elles, il décide de faire construire à Paris une magnifique église, un sanctuaire : ce sera la Sainte-Chapelle.
Elle a dû être construire par Pierre de Montreuil, lun architecte qui a sans doute travailler sur le chantier de Notre-Dame et à la basilique de Saint-Denis. La Sainte-Chapelle a été élevée très rapidement ; les plans ont été dessinés en 1241, les travaux ont débutés en 1246 et seront achevés dès 1248.
La Sainte-Chapelle abrite en fait deux chapelles superposées : celle du rez-de-chaussée est basse de plafond pour une église : elle mesure moins de sept mètres de haut. Elle est destinée aux serviteurs. Dans le sol, essayez de repérer les pierres tombales, elles datent pour la plupart des 14° et 15° siècles. Observez les murs peinturlurés, et le plafond en ciel étoilé. Un escalier en colimaçon conduit à la "chapelle haute" et là ouvrez les yeux. Cette chapelle était réservée à la famille royale et aux grands officiers.
En levant la tête, vous remarquerez une balustrade qui fait le tour de l'église. A la hauteur de la quatrième fenêtre, au premier étage à droite, un étroit passage permettait l'accès à l'oratoire : le roi pouvait ainsi voir sans être vu et assister aux cérémonies en toute discrétion.
15 splendides vitraux de 15 mètres de hauteur, qui éclairent l'endroit de leurs tons rares et changeants. Chaque grande baie raconte un morceau de l'Ancien Testament. En tout, 1134 scènes, dont 720 remontent au 1"° siècle, époque où on décida de restaurer la Sainte-Chapelle.
En sortant, regardez cette superbe flèche dressée en 1857 et reconstruite 5 fois. Elle s'élève à 75 mètres au-dessus du sol.
- La Conciergerie
Construite par Philippe le Bel, petit-fils de Saint-Louis, en 1898, la Conciergerie devint, lorsque le roi s'installa au Louvre, la première prison de Paris, et elle le restera jusqu'à la fin du 19° siècle.
Aujourd'hui, elle fait partie du Palais de Justice.
La salle des gardes : l'entrée actuelle de la Conciergerie date de 1864; elle donne accès à une petite cour où s'ouvre à droite la porte de la salle des gardes. Deux escaliers mènent aux tours César et d'Argent où furent enfermés des prisonniers comme Ravaillac, l'assassin du roi Henri IV, Lacenaire, un autre célèbre assassin, ou encore le duc d'Orléans. Au fond, une porte ouvre sur la salle des gens d'armes.
La salle des gens d'armes : Elle était réservée aux gens de service de la prison. Elle est très vaste : 1 800 m2 - près de 70 mètres de long, 28 mètres de large, 8,55 mètres de haut , elle est divisée en quatre parties par trois rangées de colonnes et de piliers. Vous remarquerez les quatres immenses cheminées qui permettaient de la chauffer, et dans lesquelles vous pouvez faire rôtir un boeuf entier. Autrefois, cet espace était divisé en plusieurs cachots minuscules, sans lumière et sans air.
La galerie des prisonniers : Elle est composée de plusieurs salles. On peut encore voir aujourd'hui l'endroit réservé aux hommes, celui des femmes, la fontaine où elles lavaient leur linge, la table de pierre, la petite cour...
Cette galerie fut habitée par Marie-Antoinette mais aussi par Madame de Récamier, Prudhon, Danton, Desmoulin, Saint-Just,... La partie gauche de la était réservée aux condamnés avant qu'ils partent à l'échafaud. Dans la partie droite se trouvait le cachot de MArie-Antoinette, qui fut transformé en chapelle en 1816.
Au premier étage, vous pourrez lire, la liste de tous les guillotinés de la Révolution. Vous verrez aussi la reconstitution de quelques cellules, qui vous donnera une idée de ce qu'était la vie en prison il y a deux siècles.
La salle des Girondins : C'est une ancienne chapelle dédiée à la Vierge. Elle porte ce nom en souvenir des 21 députés girondins condamnés à mort par le tribunal révolutionnaire. Ils y passèrent leur dernière nuit avant d'être exécutés, le 30 octobre 1793.
Une évasion manquée : Bien très surveillée, la reine Marie-Antoinette avait reçu de l'argent de la part d'un chevalier qui voulait l'aider à s'enfuir. Cet argent devait servir à payer ses gardiens pour qu'ils ferment les yeux, mais l'un d'eux se dép^cha d'aller tout raconter au comité de sûreté générale, et la reine fut transférée dans un cachot plus éloigné de l'entrée. Marie-Antoinette, surnomée "l'Autrichienneé" par les français qui ne l'aimaient pas, y resta 35 jours. Elle fut guillotinée le 16 octobre 1793.
Direction l'échafaud : Entre janvier 1793 et juillet 1794, 2 500 prisonniers ont quitté la Conciergerie pour l'un des trois échafauds de Paris : place de la Révolution (place de la Concorde), place de Grève devant l'Hôtel de Ville et place du Trône-Renversé (devenue place de la Nation).
L'époque des sans-culottes : Les parisiens, qui réclamaient la guillotine pour le roi et tous les nobles, étaient appelés des "sans-culeootes" non parcequ'ils n'en portaient pas, mais parce qu'ils avaient un pantalon et pas de "culotte" des riches - c'était une sorte de caleçon long qui s'arrêtait aux genoux; sur leurs mollets, les nobles mettaient des bas en soie.

2ème Arrondissement - Bourse



Historique :


A visiter :

- Palais de la bourse


Vu et photographié :

3ème Arrondissement - Temple


Historique :


A visiter :

- rien pour l'instant


Vu et photographié :

4ème Arrondissement - Hôtel-de-Ville


Historique :



A visiter :

- Hotel de ville
- Place des Vosges



Vu et photographié :


- Notre dame de Paris


Un chef d'oeuvre créé par des inconnus : En 1163, Maurice de Sully, évêque de Paris, décida de faire construire une cathédrale à l'endroit même où se trouvait déjà une église en ruines. On est pas sur que l'architecte soit bien Pierre de Montreuil, qui travaillait aussi à la Sainte-Chapelle. Le chantier était énorme et difficile, et ne fut terminer vers 1340, deux siècles plus tard.


Durant la Révolution française, la cathédrale fut très endommagée : tout ce qui rappeler la monarchie fut pillé et détruit comme par exemple, 28 statues de rois de l'Ancien Testaments. En 1977, 21 têtes de ces statues ont été découvertes par hasard, au cours d'un chantier, en même temps que des pierres, des morceaux de sculptures,... Elles reposent aujourd'hui au Musée du Moyen Age de Cluny.


La cathédrale fut restaurée plusieurs fois, surement la première fois au 19ième siècle par Lassus puis, surtout par Viollet-le-Duc, qui répara une partie de la façade, le portail central représentant le Jugement dernier, ainsi que à la galerie des Rois et fit entièrement reconstruire la flèche, qui avait été détruite pendant la Révolution française.

La flèche sélève à 90 mètres au-dessus du sol. Pour la reconstruire, il a fallu utiliser 500 tonnes de chêne et 250 tonnes de plomb.


Visite guidée : commençez par le parvis; au Moyen-Age, il était beaucoup plus petit, des jongleurs, des clowns, des montreurs d'animaux savants venaient y faire leurs tours. On y jouai aussi des mystères (nom donné à des spectacles tirés de la Bible ou de l'Evangile).

Avant de pénétrer dans la cathédrale, regardez bien les trois magnifiques portails sculptés.

En entrant dans le monument, vous serez frapper par son immensité : la nef mesure 130 mètres de long, 48 mètres de large et 35 mètres de haut.

La rose nord : la Vierge régne au centre, entourée de 80 personnages; Sous la rose ouest, 8 000 tuyaux, 113 symphonie, 5 claviers... les orgues de Clicquot datent de 1730. En 1962, une nouvelle console à commandes électriques a été mise en place : l'orgue de Notre-Dame est le plus grand de France.

Après avoir fait le tour complet de la cathédrale à l'intérieur, vous pouvez vous attaquer au clou de la visite : la montée d'une des tours. L'escalade se fait par la tour Nord et vous redescendrez par la tour Sud. Prenez bien votre souffle et votre temps et c'est parti pour 402 marches.

Les tours s'élèvent à 79 mètres de haut. Et arrivant tout en haut, de magnifiques et terrifiants gargouilles vous y attendent. La tour Sud, abrite le fameux "bourdon", nommé Emmanuel. C'est une énorme cloche qui pése 13 tonnes. Le battant fut longtemps actionné manuellement : il fallait 8 hommes pour le faire bouger - il pèse près de 500 kilos.


De prestigieux visiteurs : la révision du procès de Jeanne d'Arc, en 1445; le mariage d'Henri de Navarre et de Maguerite de Valois (1572); le sacre de Napoléon 1er (1804); le mariage de Napoléon III (1853); les funérailles nationales du Machérale Foch (1929); la cérémonie de la libération de Paris, le 26 août 1944; le dernier hommage de la France au général de Gaulle le 12 novemnbre 1970; et plus recemment l'enterrement de l'Abbé Pierre.


Avec un peu de chance, vous pourrez apercevoir des faucons crécerelles.


Sur le parvis de Notre-Dame, face au portail central, une dalle de bronze aux armes de la ville indique le kilomètre zéro des routes de France; sous ce vaste espace se trouve des vestiges de Lutèce, autrement dit Paris, alors que la ville n'était qu'une cité gallo-romaine. Ils occupent la plus vaste crypte archéologique du monde : 117 mètres de long. Découvert en 1847, lors de la construction des égouts, le site ne fut dégagé qu'un siècle après, lors du creusement du parking souterrain.


Les tours : Ouvert tous les jours du 1er avril au 30 septembre de 10h à 18h30 - Nocturne juin, juillet, août , samedi et dimanche de 10h à 23h - 1er octobre au 31 mai de 10h à 17h30 - Dernier accès 45 min avant la fermeture. Fermé 1er janvier, 1er mai et 25 décembre.

La crypte : du mardi au dimanche de 10h à 18h - Fermeture des caisses à 17h30 - Fermé le lundi et les jours fériés.

Métro : Cité ou Saint-Michel (ligne 4) - RER : Saint-Michel Notre-Dame




5ème Arrondissement - Panthéon


Historique :


A visiter :

- Le Pantheon
- Le jardin des plantes

Vu et photographié :

- Ménagerie du jardin des plantes
- Le Pantheon


6ème Arrondissement - Luxembourg


Historique :



A visiter :

- Jardin du Luxembourg


Vu et photographié :

7ème Arrondissement - Palais Bourbon



Historique :


A visiter :

- Parc du Champs de Mars
- Tour Eiffel
- Musée d'Orsay
- Palais bourbon - Assemblée nationale
- Les Invalides


Vu et photographié :

- Champs de Mars
(Grande esplanade de verdure située aux abords de la Tour Eiffel)


Dans les années 1770, ce "champ" servait de lieu de manoeuvres aux soldats de l'Ecole militaire toute proche ; il reçut ainsi le nom de "Mars" en référence au dieu de la guerre. Annexé par les acteurs de la Révolution française, il devint, en 1793, un des hauts lieux d'exécution par guillotine. Transformé en champ de courses au XIX° siècle, il fut racheté en 1881 par la Ville de Paris qui le transforma en un immense jardin de près de 250 000 m2. C'est à cette époque-là qu'y fut construite la tour Eiffel pour l'Exposition universelle de 1889.

8ème Arrondissement - Elysée



Historique :


A visiter :

- Place de la Concorde
- Parc Monceau
- Arc de Triomphe


Vu et photographié :

- L'obélisque

C'est un énorme bloc de granit rose, haut de près de 23 mètres, pesant environ 230 tonnes. A son sommet, le pharaon Ramsès II est figuré quatre fois, assis, présentant une offrande au dieu Amon-Ré. Chacune des quatres faces est ornée de trois rangs verticaux de hiéroglyphes célébrant le dieu égyptien Horus.
L'obélisque provient du temple de Ramsès II à Thébès. Il fut offert par le vice-roi d'Egypte Méhemet Ali, en 1831. Ce dernier voulait remercier la France pour les traductions de hiéroglyphes faites en 1822 par Champollion, le premier à avoir déchiffré l'écriture des anciens Egyptiens.

Le voyage de l'Obélisque : le Luxor, un navire spécialement construit pour transporter le monuement, met deux ans et vingt-cinq jour pour arriver à Toulon. Il remonte ensuite jusqu'à Paris et parvient au pont de la Concorde, où sa précieuse cargaison attend encore trois années son installation définitive. A son débarquement à Paris, en 1835, l'Obélisque est tiré sur une rampe située en haut du pont de la Concorde. Pour cela, 240 soldats sont mobilisés. Un an après, une fois le socle préparé, les travaux reprennent. Le 16 août 1836, l'Obélisque est enfin posé sur son socle par 300 soldats et autant de marins. On le dresse avec succès le 25 octobre 1836 : 200 000 spectateurs viennent applaudir cet exploit.

- Arc de Triomphe
(Monument commandé en 1806 par l'empereur Napoléon pour faire honneur à sa Grande Armée.)
Au centre de la place de l'Etoile, l'Arc de Triomphe est orné, sur ses différentes faces, d'oeuvres sculptées symbolisant le règne de Napoléon. A son sommet se trouve une terrasse à laquelle on accède après avoir gravi 284 marches. La vue y est exceptionnelle car, de part et d'autre du monument, passe une voie toute droite, longue de 7 kilomètres, allant de la Concorde à la Grande Arche de la Défense, offrant ainsi une immense perspective.
Au pied de l'Arc de Triomphe se trouve la "tombe du soldat inconnu", sorte de petit promontoire au centre duquel se trouve une flamme ranimée tous les soirs, en mémoire des très nobreux soldats ayant trouvé la mort au cours de la Première Guerre mondiale (1914-1918).

9ème Arrondissement - Opéra



Historique :



A visiter :

- Opéra Garnier


Vu et photographié :

- Musée Grévin


Cher(e) visiteur(se), bienvenue...au musée Grévin qui est le miroir de l'actualité en trois dimensions, un lieu mythique du divertissement et de l'illusion. Depuis 1882, on y présente les célébrités modernes qui marquent leur époque. Stars, hommes politiques, célébrités internationales, ou personnages historiques, le "Tout Paris", élu par l'Académie Grévin, se donne rendez-vous à Grévin.


Place aux rencontres inédites dans un monde où la réalité se confond avec l'apparence, le vrai ou le faux.
Fort d'un savoir- faire de 120 ans, Grévin symbolise cet art si particulier de la cire qui restitue dans les moindres détails le réalisme des personnages historiques ou comtemporains : l'attitude, le grain de la peau, le regard, le costume. Le réalisme des personnages, sculptés à partir de leurs illustres modèles, n'a jamais été aussi troublant.







"Le portrait de cire au fil des siècles,
L'emploi de la cire remonte à la plus haute Antiquité. Elle est utilisée dans l'ancienne Egypte à des fins magiques, soit dans des rites de sorcellerie, soit dans des rites religieux, et dans l'Antiquité romaine, pour les sculptures funéraires qui ornent les maisons des personnalités importantes. La coutume d'exposer une image des morts en cire revêtus de vêtements d'apparats, renaît dans la France du Moyen-Age et reste en vigueur dans le cérémonial de la Cour jusqu'au 17° siècle.


Au 17° siècle, le travail de la sculpture en cire se développe et devient en France un art à la Cour : le plus connu de ces portraits est celui de Louis XIV, réalisé par Antoine Benoist et conservé à Versailles. Il présente, avec une vérité qui contraste avec ses portraits officiels, les traits fatigués du roi vieilli. A la fin du 17° siècle, apparaît une nouvelle utilisation de ces sculptures de cire : les cabinets de cire. Antoine Benoist expose publiquement "le cercle royal de la Reine Marie-Thérèse", composé de personnages de l'entourage de la Reine.


Au 18° siècle, c'est l'allemand Curtius qui relance la mode des cabinets de cire. Invité à Paris par le prince de Conti, il présente au Palais Royal une attraction qui fait sensation : "la famille royal au Grand Couvert à Versailles".Sa nièce, la future Mme Tussaud, l'assiste. En 1789, devenue célèbre, elle le remplace et moule les visages de Robespierre, de Marat assassiné, ainsi que les têtes décapitées de Luois XVI et de Marie-Antoinette. A la mort de son oncle, elle part à Londres pour y ouvrir son célèbre musée.
Il faut alors attendre la deuxième partie du 19° siècle pour voir renaître l'intérêt pour les fugures de cire, avec Arthur Meyer qui ouvre le Musée Grévin."




(d'après le dépliant du Musée Grévin)

10ème Arrondissement - Entrepôt


Historique :



A visiter :

- rien pour l'instant


Vu et photographié :

11ème Arrondissement - Popincourt


Historique :


A visiter :

- rien pour l'instant


Vu et photographié :

12ème Arrondissement - Reuilly



Historique :



A visiter :

- Aquarium de la Porte Dorée


Vu et photographié :

- Zoo de Vincennes



Actualité :



Le zoo est fermé depuis le 30 novembre 2008. Il va être entièrement rénové selon un concept nouveau (les anciennes installations étant obsolète et dans un état de dégradation important). Le nouveau projet entend lier développement durable et respect de la condition animale, en présentant les animaux dans leurs biotopes. Pour le cabinet TN+ (cabinet d'architecte) « le visiteur deviendra l'invité de l'animal qu'il rencontrera dans son univers reconstitué ». Le principe du nouveau zoo n'est plus de montrer le plus possible d'animaux mais de valoriser leur présentation. Ainsi, il n'y aura plus de grand mammifères demandant un espace important (tigres, éléphants).

En effet, il faut 5 hectares pour deux pachydermes.



Le nouveau zoo pourrait ouvrir ses portes à partir de 2013. En effet le projet TN+ était trop cher, un nouvel appel d'offre à été lancé. Le zoo reprendre le concept qu'avait établi le le cabinet TN+ en 2005.




Le parc sera divisé en 6 biozones sur 14 Ha, dont deux seront utilisés pour des serres et des volières:

- Forêt équatoriale africaine: okapi, gorille et hippopotame nain

- La Savane africaine: oirafes, antilopes

- Madagascar: le monde des lémuriens et sa mangrove.

- La forêt guyanaise: tapirs, tamanoirs, oiseaux.

- Europe: lynx, loup, ours.

- Patagonie: otaries, phoques, manchots.





Historique :



Il s'etend sur 14.5 hectares. Avec un rocher haut de 65 mètres qui abritait les mouflons à manchettes. Inauguré en 1934, le zoo dépend du Muséum d'histoire naturel.

13ème Arrondissement - Gobelins


Historique :


A visiter :

- rien pour l'instant


Vu et photographié :

14ème Arrondissement - Observatoire


Historique :



A visiter :

- Parc Monsouris


Vu et photographié :

15ème Arrondissement - Vaugirard


Historique :



A visiter :

- rien pour l'instant


Vu et photographié :

16ème Arrondissement - Passy


Historique :



A visiter :

- Trocadéro - Palais de Chaillot
- Bois de Boulogne
- Parc de Bagatelle
- Jardin du Pré-Catelan
- Jardin d'acclimatation
- Jardin des serres d'Auteuil


Vu et photographié :

17ème Arrondissement - Batignolles-Monceau


Historique :



A visiter :

- rien pour l'instant


Vu et photographié :

18ème Arrondissement - Buttes-Montmartre


Historique :


A visiter :


Vu et photographié :

- Le sacré Coeur

19ème Arrondissement - Buttes-Chaumont


Historique :


A visiter :

- La vilette/géode
- Parc des Buttes Chaumont


Vu et photographié :

20ème Arrondissement - Menilmontant



Historique :


A visiter :

- Cimetière du père Lachaise


Vu et photographié :

- Cimetière du père Lachaise


Les origines du cimetière du Père Lachaise se situe sur la colline de Charonne, à proximité de Ménilmontant, remontent au Moyen Age.


Au XII° siècle, ce lieu appartient à l'archevêque de Paris, ce qui le fait nommer "Champ l'Evêque" On y cultive la vigne, les céréales et des légumes. Par la suite, on appellera "Mont aux vignes".


Au XV° siècle, vers 1430, le domaine est vendu à Régnault de Wandonne.


Du XV° au XVII° siècle, change plusieurs fois de propriètaires avant d'être achetée le 11 août 1626 par Marie L'huillier, pour le compte des jésuites parisiens. Donnant à ce domaine le nom de "Mont-Louis" en l'honneur de Louis XIII.


En 1675, le domaine est mis à disposition de François d'Aix de la Chaize qui y résidera jusqu'à sa mort en 1709.La maison de Régnault est reconstruite en château avec le soutien du roi (Louis XIV) et la propriété est agrandie.


Au XVIII°, la marquise de Pompadour, maitresse de Louis XV, aide et protège les philosophes ennemis des jésuites. En 1762, le gouvernement royal prend la décision de les expluser de France, ils quittent le Mont-Louis, mais le nom du père de La Chaize reste attaché au domaine. Celui-ci est vendu et après avoir appartenu à différents propriétaires, il fut acheté sur l'ordre de Napoléon, en 1803-1804, par la ville de Paris représentée par Nicolas Frochot, préfet de la Seine, pour y établir le "cimetière de l'Est parisien", qu'on appellera communément le "cimetière du Père Lachaise".
Il ouvert ses portes le 21 mai 1804.

07/12/2008

Les ponts de Paris

Paris comporte 37 ponts au-dessus de la Seine. Trois d'entre eux sont des passerelles accessibles uniquement aux piétons, deux autres sont des ponts ferroviaires. Trois relient l'Ile Saint-Louis au reste de Paris, huit font de même avec l'Ile de la cité et un dernier relie les deux îles entre elles. La liste suivante recense ces ponts, d'amont en aval du fleuve :


1) Pont Amont 


2) Pont National 


3) Pont de Tolbiac 


4) Passerelle Simone-de-Beauvoir (piétonne)


5) Pont de Bercy 


6) Pont Charles-de-Gaulle 


7) Viaduc d'Austerlitz   


8) Pont d'Austerlitz


9) Pont de Sully (qui traverse la pointe est de l'Île Saint-Louis)


10) Pont de la Tournelle (entre la rive gauche et l'Île Saint-Louis) 


11) Pont Marie (entre l'Île Saint-Louis et la rive droite) 


12) Pont Louis-Philippe (entre l'Île Saint-Louis et la rive droite) 


13) Pont Saint-Louis (zone piétonne, entre l'Île de la Cité et l'Île Saint-Louis) 


14) Pont de l'Archevêché (entre la rive gauche et l'Île de la Cité) 


15) Pont au Double (entre la rive gauche et l'Île de la Cité) 


16) Pont d'Arcole (entre l'Île de la Cité et la rive droite)


17) Petit-Pont (entre la rive gauche et l'Île de la Cité) 


18) Pont Notre-Dame (entre l'Île de la Cité et la rive droite) 


19) Pont Saint-Michel (entre la rive gauche et l'Île de la Cité) 


20) Pont au Change (entre l'Île de la Cité et la rive droite) 


21) Pont Neuf (qui traverse la pointe ouest de l'Île de la Cité, le plus ancien, construit entre 1578 et 1607) 


22) Passerelle des Arts (piétonne)  


23) Pont du Carroussel


24) Pont Royal


25) Passerelle Léopold-Sédar-Senghor  (piétonne, ancienne Passerelle de Solférino, renommée en 2006)  


26) pont de la Concorde


27) Pont Alexandre III


28) Pont des Invalides


29) Pont de l'Alma


30) Passerelle Debilly (piétonne)


31) Pont d'Iéna


32) Pont de Bir-Hakiem (traversant l'île des Cygnes)


33) Pont Rouelle (traversant l'île des Cygnes)


34) Pont de Grenelle (traversant l'île des Cygnes)


35) Pont Mirabeau


36) Pont du Garigliano


37) Pont Aval